Un sujet qui devient inévitable dans un contexte en mutation où des évolutions sont nécessaires.
Repenser le travail dans sa globalité pour résoudre les questions de transports, de mobilité et à leurs conséquences en matière de santé, d’environnement et d’économie, c’est répondre à des enjeux de responsabilité sociétale de l’entreprise ou de l’organisation. Le développement du télétravail dans un cadre organisé et à temps partagé permet l’amélioration de la qualité de vie au travail et de la qualité de vie plus généralement. En effet, beaucoup de salariés vivent de plus en plus mal les déplacements pendulaires quotidiens domicile-travail. Une perte de temps et d’argent, de la pollution et de la fatigue que l’on pourrait éviter puisque l’on sait faire autrement.
Ce métro-boulot-dodo est malheureusement encore le quotidien de millions de salariés. Il est aussi la cause des engorgements dans les transports individuels et collectifs, devenus de vrais casse-têtes pour les aménageurs publics.
Des enquêtes régulières et récentes attestent d’une réalité prégnantes des pratiques du télétravail en France jusqu’à avancer un taux de pénétration de plus de 17% au sein de la population d’actifs.
Cette réalité du télétravail en France reste encore peu encadrée par les accords d’entreprises et est davantage le fait d’une pratique officieuse dénommée « télétravail gris ».
Gains de temps, économie d’espace et de transport, meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle, telles sont les perspectives séduisantes que le télétravail pourra offrir aux entreprises qui saurant franchir le pas. Des freins culturels et organisationnels conduisent les entreprises à ne pas favoriser le télétravail de leurs salariés. Des solutions, pour prendre l’organisation du travail plus flexible dans de bonnes conditions, existent.
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